Au cours de l’histoire, la situation des femmes dans la société iranienne a connu plusieurs transformations, à partir de l’égalité presque ou complète avec l’homme dans le temps préislamiques ou la mythologie. Les femmes ont fait leurs entrées dans les secteurs culturels, sociaux, économiques, et politiques.
L’égalité et la liberté des femmes dans l’Iran
Le CNRI ou Conseil National de la Résistance Iranienne a mis l’engagement et la conviction dans le fondement du divorce de l’état et de la religion, de même dans le plan des droits des femmes et des libertés opté en 1987. Après la conversion des mollahs, la résistance iranienne s’engage à l’abolition de la peine de mort, informé en 2005. Alors, voici les plans des points de vue de la résistance iranienne sur l’égalité et la liberté des femmes dans l’Iran. Les châtiments barbares et les lois misogynes apposés par la théocratie en Iran sont principalement opposés aux doctrines authentiques de l'islam, sous l’allégation de la religion aussi qu’à son message de compassion et de tolérance. Ainsi, les outils internationaux proportionnels aux droits de l’homme, en particulier celles des femmes nécessitent d’être former à la base des lois civiles pour le future de l’Iran, ceux qui sont dits dans l’annonce mondiale. Dont la contrat sur la disqualification de toutes les aspects de distinction à la considération des femmes, le traité universel correspondant aux droits politiques et civils, l’annonce sur la suppression de la brutalité, le traité général aux droits culturels, sociaux, et économiques, dégradants ou inhumains, la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels. Mais encore, les femmes nécessiteront une assistance de la loi à identité avec les hommes et égaux devant les tribunaux, avoir la possibilité d’accéder à des appels judiciaires certifiés en cas de viol, de violence, vice de liberté et de discrimination. sur ce site pour plus d’information.
Les droits fondamentaux
D’abord, les femmes posséderont le droit de savourer de tous les libertés fondamentales et les droits humains. Ce qui est séparément de l’appartenance religion, ethnique, données démographiques ou classe sociale. Toutes les femmes devront jouir des droits semblables aux hommes, dans les villes et les villages, dans toutes les boules politiques, sociales, et économiques. Notamment, la diversification à la déférence des femmes faudra être anéantie envers tous ses aspects. Elles auront la liberté de favoriser leur endroit d’habitat, d'éducation et de profession. Avoir le droit de distinguer ouvertement leur époux ainsi que leurs habits, contre le voile obligatoire, de divorcer, d'acquérir la tutelle et la garde des enfants, d’obtenir une citoyenneté exotique, puis donner leur nationalité à ses petits, avoir le droit de partir et de voyager. Ensuite, la foi en une religion ou croyance caractéristique ne redevra pas combiner comme étant un agent de décadence ou même les détourner d'atteindre à des éventualités de travail ou d’aides judiciaires et éducatives.
Coopération égale et active des femmes dans la direction politique
Il mérite donc de confier sans la moindre inquiétude les activités de l’administration aux femmes les plus adroites. Elles ont parvenu à procurer des tarifs nouveaux, sous l’effet de cet élan, et à se rompre de valeurs rétrogrades et obsolètes. Puisqu’elles ont eu confiance en leurs capacités et en elles-mêmes, tandis qu’elles ont isolé l’univers de la résignation et de l’irresponsabilité, d’où elles ne tirent leur crédibilité qu’en dépendant d’un autre. Elles ont saisis la valeur de leur responsabilité étant essentiel pour progresser la combat contre la tyrannie religieuse. La résistance iranienne est persuadée que les Iraniennes doivent occuper et méritent la gestion de l’Iran démocratique.
Les lois de la charia des mollahs n’agréent pas dans les futures lois, particulièrement pour la liberté de la femme et les droits des femmes en Iran.